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Communiqué de presse PDF 2007
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L'intérieur de l'atelier, épisode II (PDF 3 Mo)Exposition Primo Levi 2007
Dossier de presse Primo Levi PDFExposition au Fiap Paris 14 2005
L'intérieur de l'atelier 1
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L'Intérieur de l'Atelier I
Catalogue de l'exposition galerie La Capitale - Paris 2002/2003
(PDF 6 Mo)
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Après Dehors dedans en janvier 2009 à la Galerie du Montparnasse à Paris, Marion Dillange, Pernette Lezine et Frantz Lecarpentier se retrouvent dans un même espace exposant chacun successivement des peintures, puis ensemble des œuvres sur papier.
La rencontre de ces trois peintres est avant tout une histoire simple d’amitié et de reconnaissance mutuelle.
Il s'agit de trois approches picturales différentes réunies par des liens qui ne doivent rien au hasard.
Ecrire sur la peinture et les peintres est un exercice délicat, de fait, écrire sur trois peintres à la fois est une mission presque impossible. Mais au fond, n’est-ce pas Dehors dedans qui les unit le plus ? Le monde extérieur et gestuel de Pernette Lezine répond à l’univers intérieur et mesuré de Marion Dillange et Frantz Lecarpentier.
Abstrait, figuratif,
Mouvement, immobilité,
Dehors, dedans…
Nous pourrions à l’envie jouer de ces contrastes. Ces trois Peintres nous dévoilent un monde, un univers : franc, clair, obscur, sombre, intime.
Les oracles nous annoncent des temps difficiles.
Pour combien de temps ? Nul ne sait.
Les crises ont ceci de bon : elles nous forcent à revenir à l’essentiel. Oui, la Peinture au sens le plus classique et le plus noble, est de retour. Elle est là, bien vivante. Il faut savoir la chercher un peu.
Allez donc à l’espace Les Yeux Posés* en juin 2009 voir l’œuvre de ces trois peintres car la Peinture est là : juste essentielle.
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Espace les Yeux Posés
12, rue des Cinq Diamants – Paris 13e.
M° Corvisart ou Place d’Italie
Du jeudi 4 juin au 30 juin 2009
Les trois peintres exposent
en alternance du jeudi 4
au dimanche 28 juin 2009
à l’espace “Les Yeux posés”.
• Frantz Lecarpentier du 4 au 9 juin,
Vernissage le 4 juin 2009 à 18 h 30
• Marion Dillange du 11 au 16 juin Vernissage le 11 Juin 2009 à 18 h 30
• Pernette Lezine du 18 au 23 juin Vernissage le 18 juin 2009 à 18 h 30
• Marion Dillange, Frantz Lecarpentier et Pernette Lezine (Groupe 14) du 25 au 30 juin
Vernissage le 25 juin 2009 à 18 h30. Exposition collective d’œuvres sur papier
Ouvert tous les jours de 17 à 20 heures. Les samedis et dimanches de 15 à 20 h
Communiqué de presse 2008
Pour le troisième épisode de sa série sur l’intérieur de l’Atelier le peintre Frantz Lecarpentier nous invite, encore, à une promenade immobile dans son univers. Dans les deux premiers cycles, se sont succédés le Jour et la Nuit où la fluidité des lumières passant au travers des fenêtres nous invitait à voir le tableau et au delà, à travers la fenêtre du tableau. Pour l’intérieur de l'Atelier III, celui-ci est évoqué. Le peintre entre dans le détail ; dans le détail de la matière, dans son épaisseur et sa masse. Toujours à la frontière impalpable de l’abstrait et de la figuration, cette fois le peintre travaille la matière. Matière tordue, rayée, griffée, mouvante et immobile. Après le fluide, le solide. Mais, pour autant, à y bien regarder, on a du mal à retrouver l’atelier du peintre et son obsession pour les trouées lumineuses que sont les fenêtres, dans ces masses lumineuses et graves, obscures et massives. C’est là qu’il faut chercher, raccommoder les morceaux, remonter le puzzle car c’est bien une histoire à épisodes, commencée en 2003, qui nous promène du clair à l’obscur, du formel à l’informel, du liquide à la matière.
Comme dans les bons feuilletons, il faudrait déjà évoquer l’épisode IV de la série. Mais n’est-il pas écrit en filigrane, dès lors que la forme s’épure.
De la figuration à l’abstraction ? Non, bien sûr, la réponse est trop simple car la frontière est invisible et plus subtile qu’il n’y paraît. Alors quoi ? Boucler la boucle, faire une révolution et revenir au point de départ pour que rien ne bouge ? Mais n’anticipons pas, comment parler d’une œuvre qui n’est pas encore créée et qui pourtant existe dans l’intuition du peintre…
La peinture nous raconte une histoire très ancienne, elle a commencé au paléolithique supérieur et contrairement à ce que veulent nous faire croire des esprits chagrins, elle n’est pas morte et pas près de s’arrêter.
Nous verrons bien.
La suite au prochain épisode
En ces temps obscurs où il faudrait presque s’excuser de peindre au risque d’être taxé de ringardise, Pernette Lezine, elle, nous prouve à travers son œuvre que l’expression picturale est vivante et bien vivante.
C’est une œuvre mature et fraîche qui nous est donnée à voir où l’œil n’a pas besoin de s’encombrer de concepts tortueux.
Abstrait ? Figuratif ? Toile ? Papier ? Peu nous importe, ce qui compte, c’est le mouvement, celui de l’homme qui marche ou du danseur saisi au vol dans un geste précis et sans bavures ou encore l’épaisse mouvance des sables à marée basse.
En somme, le mouvement immobile saisi par le peintre.
Pour cette cuvée 2008, c’est une toute petite partie de l’œuvre de Pernette Lezine que nous vous invitons à voir. Venez découvrir ces instants de vie et de mouvements figés sur la toile.
La peinture donne à penser, nous le savons, mais il est bon de temps en temps de rappeler, à l’heure où l’image se dématérialise, que le travail du peintre n’est rien moins qu’essentiel.
Exposition du 27 juin au 1er Juillet 2008
Vernissage le vendredi 27 juin 2008 à partir de 18 heures
Dévernissage le mardi 1er juillet 2008 à partir de 18 heures
Espace les Yeux Posés
12, rue des Cinq Diamants - 75013 Paris
Ouvert tous les jours de 17 à 21 heures et sur rendez-vous
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Galerie les Yeux Posés
12, rue des Cinq Diamants – Paris 13e. M° Corvisart ou Place d’Italie
Du vendredi 1er juin au dimanche 10 juin 2007
Lors de sa dernière exposition, Frantz Lecarpentier nous avait dévoilé le monde intime de l’atelier du peintre : fenêtres, toiles enchevêtrées, objets suspendus dans un univers bancal, peintures dans la peinture… bref, son monde, son regard.
“Sur quoi donnent toutes ces fenêtres ?” interrogeait Jacques Busseau lors de la précédente exposition du peintre, à Paris, au Fiap Jean Monnet en 2005.
Deux ans après, la question est la même.
Mais, amène t-elle pour autant une réponse ?
Cette fois, le regard du peintre s’est promené la nuit ; nuits d’orages, nuits chaudes et électriques aux lumières improbables.
Le silence est entré dans le tableau, c’est la nuit.
Pas si sûr. Le peintre explore des terres inconnues sans bouger de son atelier.
La peinture est une recherche : vraie, risquée, passionnée, complexe, car le champ à explorer est sans fin. Le peintre vous invite à découvrir ce voyage immobile.
S’il y a un début à la peinture, il y a donc une suite. Une fin ? Probablement pas.
Tant pis pour les Cassandre qui, depuis des lustres, nous annoncent la mort de la peinture.
La suite au prochain épisode.
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Diaporama de l'épisode II (PDF 3 Mo)
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Réseau Ferré de France (R.F.F.)
92, avenue de France Paris 13e arrondissement Du 22 juin au 1er juillet 2007
Dissémination de citations de Primo Lévi dans le 13e arrondissement de Paris.
A l’occasion du vingtième anniversaire de la mort de Primo Lévi, un collectif de 14 artistes plasticiens fait le choix, à l’initiative de Colin Cyvoct, d’interroger l’œuvre de l’écrivain
Primo Levi rappelle que le pire peut encore arriver, y compris dans nos sociétés dites développées. Mais il apparaît également comme l’une de ces « figures lumineuse [ … ] au destin dramatique, à la lucidité impitoyable, qui ont continué malgré tout de croire que l’homme mérite de rester le but de l’homme. » Tzvetan Todorov. Les artistes ont sélectionné une vingtaine de citations choisies dans neuf ouvrages parus en français, dont « Si c’est un homme », « Poésies » et « Le système périodique ».
La manifestation « Ombre, Lumière et Primo Levi », intégrée à la Semaine Italienne du 13e arrondissement de Paris, se présente sous deux formes :
• Une exposition pensée comme un jeux de miroirs entre les citations de Primo Lévi choisies par les artistes et des œuvres (peintures, sculptures, installations) réalisées en résonance avec les écrits de l’auteur de « Si c’est un homme », présentées sous la grande verrière du siège de Réseau Ferré de France, Avenue de France.
• La dissémination, dans tout le 13° arrondissement, des citations de Primo Levi, sous forme d’affiches mais également de languettes imprimées détachables à mettre dans la poche.
Intervenir dans des lieux du quotidien, à la rencontre d’un public qui ne fréquente pas nécessairement les galeries, permet d’imaginer de nouvelles postures. L’artiste ne se contente pas de fabriquer une œuvre, il peut également imaginer devenir un passeur entre les écrits de Primo Levi et des lecteurs imprévus.
Les artistes du collectif, presque tous membres de l’association « 13 en vue », sont déjà intervenus à plusieurs reprises dans les espaces publics du 13° arrondissement. En 2000, une cinquantaine de toiles peintes de 3 ou 5 mètres de long flottaient au vent sous le métro aérien. Dans le cadre des « Nuits Blanches » 2004 et 2005, des oriflammes aux couleurs de la Chine puis des triptyques jaunes, bleus et rouges sont apparus dans différents quartiers du 13°.
Artistes du collectif Primo Lévi
Jean-Pierre Berthier, Isabelle Bonté, Orson Buch, Colin Cyvoct, Marion Dillange,
Sophie Dussidour, Gérard Koch, Martine Expilly,
Frantz Lecarpentier, Pernette Lézine, Pascal Margat, Jean-Louis Mathieu,
Joël Weidmann, Judith Wolfe.
Adresse de l’exposition « Ombre, lumière et Primo Lévi » :
Réseau Ferré de France (R.F.F.) 92, avenue de France Paris 13e arrondissement
Du 22 juin au 1er juillet 2007
Coordinateur de l’exposition : Colin Cyvoct colincyvoct@yahoo.fr
Relations presse : Frantz Lecarpentier. Tél. : 06 11 41 63 40
fl@frantzlecarpentier.fr
Téléchargez en PDF le dossier de presse de l'exposition Ombre Lumières et Primo Levi
Dossier depresse Primo Levi PDF
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Le FIAP Jean Monnet, Paris 14e, ouvre régulièrement ses espaces au talent des artistes. Pour renforcer son action culturelle, le Fiap a décidé d’organiser périodiquement des expositions consacrées à des créateurs contemporains présentant des œuvres originales, représentatives d’une démarche personnelle affirmée.
C’est sous le titre « Aux Cimaises du Fiap Jean Monnet » que se déroule cette première édition consacrée au peintre français -et parisien- Frantz Lecarpentier.
Frantz Lecarpentier, après plus de vingt ans de créations, nous dévoile ses dernières œuvres consacrées au monde secret de l’atelier du peintre. Fenêtres, toiles enchevêtrées, objets suspendus dans un univers bancal, peinture dans la peinture… ses tableaux nous invitent au rythme des saisons à nous promener dans son univers intimiste.
Fiap Jean Monnet : 30, rue Cabanis – Paris 14e. M° Glacière
Du mercredi 16 février au samedi 5 mars 2005
Exposition ouverte tous les jours de 10 h à 20 h
Vernissage le mercredi 16 février 2005 à 19 heures
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Communiqué de presse Atelier I
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Pour la deuxième année consécutive, Frantz Lecarpentier nous convie à son rendez-vous parisien de la Galerie La Capitale*.
Un rendez-vous désormais installé dans la durée, comme une invite lancée par cet artiste “multifacettes” à suivre régulièrement ses déroutants méandres et ses regards décalés à travers lesquels, charmés ou amusés, nous apprenons à redécouvrir les êtres et les objets qui nous entourent.
Après avoir tenté, l’an passé, de “saisir” dans leur équilibre incertain des objets puisés à notre propre mémoire ou encore parcouru furtivement l’espace intime de l’atelier du peintre, nous pouvons cette année explorer quelques transparences abstraites ou nous “ attarder ” sur ces élans mystérieux de superbes nus, appuyés sur des coupures de journaux dont ils semblent jouer avec les caractères…
De nouveau une grande diversité de tons et de thèmes, une “écriture” réfléchie sans être intellectualisée, à la fois mouvementée et maîtrisée, dont le cadre paisible de La Capitale nous offre une lecture sereine.
Jacques Busseau
*Galerie La capitale, 18, rue du Roule, Paris 1er.
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Frantz Lecarpentier est un artiste en trompe-l’œil qui, sous des allures résolument “jeunes”, se permet de cacher plus de vingt ans de pratique. Un bail !
Et depuis plus de vingt ans, sa peinture nous impose un regard amusé sur notre environnement, car Frantz Lecarpentier se divertit, nous divertit de ce qui l’entoure, de ce qui nous entoure, se jouant en homme libre des formes et des modes.
Ses peintures apparaissent dès lors comme de véritables champs d’études inlassablement explorés, “champs extraordinaires”
- où d’amusants petits personnages peuvent jouer avec les caractères
de… coupures de journaux -sur lesquelles parfois s’appuie un superbe nu saisi dans quelque élan mystérieux-
- où divers instruments de musique nous apparaissent égoïstement retenir des rythmes dont ils étaient pourtant censés se faire l’écho…
Délaissant un temps ses figures “désossées” et ses collages “décalés”, Frantz Lecarpentier nous donne néanmoins à découvrir cette année* un univers plus intime, peuplé de transparences abstraites, d’objets tirés de notre mémoire d’enfant -saisis sur un coin de table dans un équilibre incertain- ou encore de furtifs regards sur l’espace clos de l’atelier du Peintre.
Il ressort de l'ensemble, à la fois une grande diversité, -qui permet à chacun de puiser sa propre matière à évasion- et une évidente cohérence où l'on retrouve cet œil bien particulier qui habite toute l'œuvre de l'artiste.
Mais la peinture de Frantz Lecarpentier est avant tout mouvement : personnages, objets et couleurs semblent prolonger sur la toile le geste de l’artiste, au point de prendre souvent l’aspect de notes ou de caractères lancés à l’assaut d’une phrase, musicale ou littéraire…
De cette “écriture”, réfléchie sans être intellectualisée, énergique mais inscrite dans un mouvement maîtrisé, se dégage une évidente sérénité que cette exposition permettra d’apprécier pleinement dans un espace parisien ayant désormais acquis ses lettres de noblesse.
* Galerie La Capitale, 18, rue du Roule, Paris 1er.
Jacques Busseau
Pour recevoir le dossier de presse : fl@frantzlecarpentier.fr